06 avril 2007

Un rayo de sol

Dans mon post d'hier sur la Superette, j'évoquais Le Mans.

J'aurais beaucoup à dire sur ce groupe, le problème c'est que mes posts sur la Superette sont déjà trop longs et trop chargés, et que personne ne lit les Os. Je n'aime pas spécialement perdre du temps à informer dans le vide.
Heureusement pour moi, la page que leur consacre Elefant est très complète. Elle est en espagnol mais bon c'est pas trop dur l'espagnol, c'est juste du français avec des o et des a à la fin des mots, donc là vous n'avez qu'à les enlever et ce sera très intelligible.
Pour l'anecdote, sur chaque pochette des trois derniers albums de Le Mans apparaissait, en gros caractère, une lettre: F sur Mi novela autobiográfica, I sur Yin Yang, N sur Aquí vivía yo. F-I-N.
A part ça je n'aurais pas du écrire que Le Mans était une réponse aux Go-Betweens, puisque ses influences étaient essentiellement nord-américaines et européennes. Considérons donc plutôt ce groupe comme le versant ensoleillé d'Orange Juice, ou le cousin lo-fi de The Sea and Cake.

Hors-rayons donc, ce très beau clip de Cancion de todo va mal:



Ainsi qu'un morceau solo d'Ibon Errazkin (jolie animation là encore):



Et puis comme vendredi saint = fête pour toujours sans divorce, un morceau solo de Teresa Iturrioz, qui a publié l'an dernier son premier album sous le nom de Single:


A part ça la RBC m'a facturé 35$ de frais pour avoir émis un chèque supérieur d'un dollar au solde de mon compte.
C'est une sandale.

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