- Une Black Session en mai 2001, que j'avais enregistré sur une cassette Sony UX-S.
- Une reprise de California Dreamin' diffusée juste après les infos de 22h00, puisqu'à l'époque C'est Lenoir occupait le créneau 21h30-22h30.
- Bernard parlant de Renée comme d'une fille "douce et tranquille".
- La critique de l'album dans Magic! (celui avec Zoot Woman en couv'?), dans laquelle le chroniqueur faisait allusion à la coupe du monde de football.
- Love is Like a Bomb, une très jolie chanson qui était sur le sampler du magic! ("A bit of a wanderer"?) aux côtés de Masters of The Hemishere et de Satellites. (It's a joy, de Satellites...). J'étais content de la trouver sur cd parce que j'en avais un peu marre de faire des auto-reverse avec mon baladeur.
- Un concert à l'Ubu avec Stephan et Superheroes. Mon premier concert à l'Ubu. Renée, fascinante, qui tapait du pied en ouvrant de grands yeux.
- (le concert des Superheroes, trop mortel).
Voilà. Reprenez donc votre lecture. Quelle belle utilisation de l'hypertextualité.
Je vous souhaite par ailleurs un joyeux 1er mai (que je considère pour ma part comme une fête consumériste montée de toute pièce par le lobby des vendeurs de muguet et de drapeaux rouges).
(En plus le muguet laissez moi rire, ça fâne. Dans muguet il y a gay.)
Et à part ça hier soir, au cours d'un houleux (débat) dialogue sur Justice entre gentlemen, mon cousin m'a lancé "sans des groupes comme Interpol, tu n'aurais jamais écouté Joy Division".
Il avait bien raison le bougre.
Et j'ajoute que sans The Bees, je n'aurais jamais laissé Os Mutantes altérer mon ADN.
A Minha Menina avait été composé par Jorge Ben. C'est un morceau de saison.
(c'est toujours de saison Os Mutantes).